Boukhara, Ouzbékistan

Circuits, attractions et choses à faire à Boukhara

Guide de voyage de Boukhara

La Boukhara moderne est une ville au développement dynamique et prospère dont la population dépasse les 275 000 habitants.

Les Visites de Boukhara

Les visites de Boukhara invitent les voyageurs à un voyage dans le temps, révélant l'une des villes médiévales les mieux préservées d'Asie centrale. Avec son éventail impressionnant de mosquées, de madrasas et de mausolées, ces visites ouvrent une fenêtre fascinante sur le passé de la région, de l'imposante citadelle Ark au raffinement du design de la madrasa Mir-i Arab. Avant de commencer votre aventure, enrichissez votre expérience en vous familiarisant avec l'histoire profonde et les récits enchanteurs de Boukhara.

Histoire de Boukhara

Les érudits affirment que Boukhara est apparue au milieu du premier millénaire avant Jésus-Christ. Lors de fouilles archéologiques, des poteries, des bijoux et des vestiges de structures remontant au Ve siècle avant Jésus-Christ ont été découverts sur le territoire de Boukhara.

Boukhara a été mentionnée pour la première fois au IVe et au Ve siècle sur des pièces de monnaie portant son nom. Au VIIe siècle, l'érudit et traducteur chinois Xuanzang a écrit sur Boukhara. Boukhara est dérivé de la vieille langue ouïghoure qui signifie « maison de prière ou temple ». De nombreuses sources, cependant, donnent des noms différents à la ville : Nyumi, Bukho, Bukhe, Bukhala, Bumiskat, Fuho et Anxi.

Tout au long de son histoire, Boukhara a été une ville convoitée par de nombreux dirigeants. Elle est souvent passée de la domination d'un conquérant à l'autre. À l'époque préislamique, la ville était un centre culturel de l'Asie centrale.

Aux IXe et Xe siècles, Boukhara devint la capitale de l'Empire Samanide. Abu Ali Ibn Sina (Avicenne), Abdullah Jafar Ibn Mohammed Roudaki, Omar Khayyam et d'autres personnalités célèbres ont vécu et travaillé ici.

Les siècles suivants sont caractérisés par l'épanouissement de l'architecture à Boukhara, même si elle a cessé d'être la capitale. De nombreux édifices médiévaux ont survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous le règne de Tamerlan (Amir Timur), Boukhara a commencé à acquérir le statut de centre religieux. La ville était alors appelée Bukhoroi Sharif (Sainte Boukhara).

Après la Révolution de 1917, de nombreux édifices historiques de Boukhara furent détruits. En 1925, Boukhara faisait partie de la RSS d'Ouzbékistan.

En 2020, l'Organisation du monde islamique pour l'éducation, les sciences et la culture a désigné Boukhara comme la capitale de la culture islamique.

Que Faire à Boukhara ?

Monuments et Curiosités de Boukhara

L'ancienne citadelle Ark est l'un des symboles architecturaux de Boukhara et le plus ancien monument de la ville. Cette citadelle est synonyme d'inexpugnable et de grandeur. Des documents concernant la citadelle existaient dès le Ve siècle, et des fouilles archéologiques ont confirmé l'existence d'une structure défensive dans cette zone dès le IVe siècle avant Jésus-Christ. Au VIIIe siècle, la première mosquée de la ville fut construite ici. Sur le territoire de la citadelle se trouvaient un palais, des salles de réception, des hôtels, une bibliothèque, un hôtel des monnaies, des bains, une prison et de nombreux autres bâtiments. Ibn Sina, Omar Khayyam et Roudaki ont tous travaillé dans l'enceinte de la citadelle Ark. Aujourd'hui, la citadelle Ark est un musée-réserve où vous pouvez voir comment vivaient les souverains du Moyen Âge et les découvertes archéologiques des savants, ainsi qu'admirer l'architecture orientale.

La place du Registan n'est pas seulement située à Samarcande. La place, dont le nom signifie « endroit sablonneux », est située près de la citadelle Ark. Au Moyen Âge, il y avait des rues commerçantes ainsi que des bâtiments administratifs et des mosquées.

Bolo Haouz est le seul complexe du Registan qui subsiste. Il se compose d'une mosquée, d'un minaret et d'un hauz (bassin). La mosquée et le hauz ont été construits en 1712. Deux cents ans après, un minaret fut construit à côté de la mosquée.

Le mausolée des Samanides est la sépulture de la dynastie des Samanides, qui a régné sur Boukhara. Le bâtiment a été construit à la fin du IXe et au début du Xe siècle. Aujourd'hui, c'est le seul bâtiment qui a survécu à cette époque. En 1993, il a été inscrit sur la liste des sites du patrimoine mondial de l'UNESCO. Il est remarquable que le bâtiment en briques est resté pratiquement inchangé depuis mille ans.

Le Poi-Kalyan (Poi-Kalan ou Poi-Kalon) est un ensemble architectural situé dans le centre de Boukhara. Le nom du lieu se traduit littéralement par « le pied du Grand » (le pied du minaret Kalyan). L'ensemble comprend le minaret Kalyan (Kalan ou Kalon), situé en son centre, la mosquée Kalyan (Kalan ou Kalon) et la madrasa Mir-i Arab, qui se font face, et la madrasa Amir Alim Khan.

Le minaret Kalyan (Kalan ou Kalon) est une haute tour en briques, construite en 1127. Le minaret a été construit pour que les ecclésiastiques musulmans (Muezzin) puissent appeler les fidèles à la prière depuis son sommet. Le minaret Kalyan a une hauteur de 46,5 mètres. La base qui mesure 30,43 mètres s'affine vers le sommet. Les murs du minaret sont décorés de motifs géométriques et de textes religieux.

La mosquée Kalyan (Kalan ou Kalon) est la principale mosquée du vendredi à Boukhara. Elle permet à 12 000 fidèles de prier ici en même temps. Le bâtiment moderne de la mosquée a été construit en 1514 à la place de la mosquée du même nom détruite par les soldats de Gengis Khan. La mosquée a des décorations complexes à l'intérieur et à l'extérieur.

Mir-i Arab est une madrasa (medersa), un établissement d'enseignement construit en 1536. Jusqu'en 1920, elle était l'une des meilleures madrasas d'Asie centrale. De nombreuses personnalités éminentes y ont enseigné et étudié. Parmi les diplômés de cette institution estimée figurent Muhammedjan Husain, le premier mufti d'Oufa, et Galimdzhan Barudi, le premier mufti des musulmans russes. Cependant, après la Révolution de 1917, la madrasa fut fermée et ses religieux furent réprimés. Après la Seconde Guerre mondiale, les croyants se mobilisèrent pour la reprise des activités éducatives dans les madrasas. De 1946 à 1956 et de 1961 à 1989, Mir-i Arab était la seule madrasa en activité dans toute l'Union soviétique.

La madrasa Amir Alim Khan, qui fait partie du complexe Poi-Kalyan, fut fondée en 1915. Elle fut construite aux frais du dernier émir de Boukhara, Sayyid Mir Mohammed Alim Khan. Après la fermeture de tous les établissements d'enseignement religieux en 1924, la madrasa abrita une bibliothèque.

Liab i Khaouz est l'un des lieux les plus populaires de Boukhara. C'est un bassin ("hauz" en ouzbek signifie plan d'eau artificiel). Depuis le XVIe siècle, le Liab i Khaouz a attiré de nombreux citoyens autour de lui. C'est de là que les porteurs d'eau puisaient l'eau pour boire et arroser les rues. Près du bassin, il y avait des magasins et des maisons de thé. Aujourd'hui, Liab i Khaouz, comme il y a plusieurs siècles, est le lieu central de Boukhara. Près du bassin se trouve un monument à la mémoire d'un célèbre personnage folklorique, Nasr Eddin Hodja (Khoja Nasreddin).

La madrasa Koukeldach fut fondée en 1569. Elle fut construite près du bassin Liab i Khaouz. Aujourd'hui, c'est la plus grande institution d'éducation spirituelle d'Asie centrale. La madrasa dispose de deux étages qui abritent également des ateliers d'artisans et des boutiques de souvenirs.

La madrasa Nadir Divonbegui, construite en 1623, est un autre site remarquable. Elle est également située près de Liab i Khaouz. À l'origine, c'était un caravansérail qui servait de lieu de repos aux voyageurs. Plus tard, il fut transformé en école religieuse. Il est intéressant de noter que la madrasa est décorée d'éléments ornementaux qui ne sont pas typiques des décors musulmans, avec des images d'oiseaux et d'animaux.

Le mausolée Tchachma i Ayyub (Chashma Ayub) est considéré comme un lieu sacré. Il s'agit d'un puits d'eau bénite qui, selon la légende, fut créé par Job, le Juste, personnage biblique mentionné dans l'Ancien Testament. Alors que les gens souffraient de la soif, Job frappa le sol avec un bâton et une source jaillit. Des documents historiques indiquent que le puits fut construit en 1380. Le site est vénéré par les musulmans et les chrétiens. Ce site a été visité par des personnalités notables telles que, par exemple, Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies qui a visité ce lieu en 2017. L'eau bénite qui guérit de nombreux maux coule toujours ici.

La madrasa Abdulaziz Khan est un monument architectural construit en 1652. Le bâtiment est toujours considéré comme un chef-d'œuvre de l'architecture de Boukhara. Même si les architectes peuvent identifier divers défauts, voire des fautes de goût dans sa conception, les éléments décoratifs de l'édifice ne laisseront personne indifférent et captiveront certainement les spectateurs.

Le palais Sitoraï Mokhi Khossa qui fut construit en 1918 est situé près de Boukhara. Il s'agit de la résidence de campagne du dernier émir de Boukhara, Sayyid Mir Mohammed Alim Khan. Aujourd'hui, l'édifice bien préservé abrite un musée des arts et de l'artisanat. Les visiteurs sont attirés non seulement par la collection du musée, mais également par le superbe design intérieur du palais lui-même qui est intéressant.

Le complexe commémoratif de Bahauddin Naqshbandi, situé à la périphérie de Boukhara, comprend un mausolée, deux mosquées, un minaret et une madrasa. Muhammad Bahâ'uddin Shâh Naqshband (Bahauddin Naqshbandi) était un célèbre théologien du XIVe siècle, qui a fondé l'ordre soufi Naqshbandiyya. Il fut également le guide spirituel de Tamerlan (Amir Timur) et il fit le pèlerinage à La Mecque 32 fois. Les musulmans considèrent cet endroit comme La Mecque de l'Asie centrale. Les gens viennent ici non seulement des pays de la CEI, mais aussi d'autres parties du monde. Il est dit que quiconque marche trois fois de Boukhara au mausolée Naqshbandi a le même mérite que d'accomplir le hajj.

Le palais de l'émir de Boukhara à Kagan fut construit à la fin du XIXe siècle par le célèbre architecte Alexey Benua. La particularité de son architecture réside dans la combinaison de trois styles, le néo-mauresque, l'Empire et le baroque. Des motifs arabes sont également finement entremêlés au style à prédominance européenne.

Tchor Minor est la madrasa Khalif Niazkhoul, construite en 1806. Tchor Minor se traduit par « quatre minarets ». Quatre minarets identiques qui parent le bâtiment et qui sont couronnés de dômes bleus. Chaque minaret est décoré dans un style différent. Les dessins sont souvent interprétés comme des symboles de quatre religions dans les décorations, dont les motifs zoroastriens et islamiques, le poisson et la croix des chrétiens et les moulins à prière bouddhistes.

Tchor-Bakr est une nécropole située près de Boukhara. Elle est considérée comme la plus grande d'Asie centrale. Tchar-Bakr est appelée la cité des morts. Elle fut construite au XVIe siècle. De nombreux notables sont enterrés ici. Par exemple, on pense que l'une des premières sépultures appartient à Abu Bakr Saad, qui était un parent du Prophète Mahomet.

Il existe également d'autres lieux d'intérêt à Boukhara. Par exemple, le complexe Khoja Gaukushan, la mosquée Magoki-Attori, le mausolée de l'imam Abu Khafs Kabir, la mosquée Khanqah de Khoja Zain oud Din, les bains médiévaux et bien d'autres choses encore.

Musées de Boukhara

Boukhara est une ville de musées avec de nombreuses collections fascinantes à explorer.

La réserve du musée d'État de Boukhara a été fondée en 1922. Des centaines d'objets sont exposés : documents, photographies, articles ménagers, pièces de monnaie, armes, peintures, sculptures, livres, céramiques, bijoux, tissus et bien plus encore.

Le musée des beaux-arts expose des peintures, des graphiques et des sculptures. Les pièces les plus anciennes remontent au Ier siècle avant Jésus-Christ. On y trouve également des fragments de décor des VIe et VIIe siècles, ainsi que des œuvres d'artistes contemporains.

La maison-musée Fayzullah Khojaev, située dans le quartier historique de Goziyon, est l'un des musées les plus visités de Boukhara. Khojaev a lutté pour l'amélioration de la vie des habitants de l'émirat de Boukhara. Il était l'un des chefs du jadidisme, qui ont été exécutés dans les années 1930. La maison-musée présente ses effets personnels, des documents, des photographies et des collections d'ustensiles, de meubles et d'armes.

Le musée historique de la restauration des monuments architecturaux de Boukhara, créé dans les années 1990, décrit les travaux de restauration à grande échelle qui ont eu lieu dans la partie historique de Boukhara au XXe siècle.

Le musée du tissage des tapis a été créé à Boukhara en 1991. Il expose des tapis en soie et en laine des XVIIIe au XXIe siècles créés en Ouzbékistan, en Iran, au Turkménistan et au Kazakhstan.

Le musée d'Histoire de la forge du forgeron est situé dans le caravansérail Kulyut et offre un aperçu de l'histoire de la ferronnerie. Vous pourrez y découvrir l'histoire de la forge, voir le travail des forgerons du XVIIIe au XXIe siècle et participer à la fabrication d'objets en fer.

Le musée-atelier national des marionnettes captivera non seulement les enfants, mais aussi les adultes. Vous y découvrirez le processus de fabrication des marionnettes. Émerveillez-vous devant les marionnettes-citrouilles et bien plus encore. Vous pouvez également acheter une marionnette comme souvenir ou comme cadeau dans le musée.

Le musée de la céramique de Gijduvan est situé près de Boukhara. Vous pouvez y voir des œuvres de maîtres modernes et anciens. Par exemple, le musée abrite les œuvres d'une dynastie familiale, qui pratique la céramique depuis six générations.

Le musée d'histoire locale de Romitan est situé non loin de Boukhara. Le bâtiment du musée abritait autrefois la résidence d'hiver de l'émir de Boukhara. Dans le musée, vous pourrez découvrir l'histoire de Romitan et de ses célèbres habitants.

Le musée commémoratif Abu Ali Ibn Sina (Avicenne) est situé à 30 km de Boukhara, dans le village d'Afshana. Il a été construit en 1980 pour commémorer le millième anniversaire du célèbre médecin et érudit. Dans le musée, vous pourrez découvrir la vie et les activités scientifiques d'Avicenne.

Théâtres à Boukhara

Le théâtre musical et dramatique de Boukhara Sadriddin Aini se trouve dans le parc Mirzo Ulugh Beg. Il fut fondé en 1921. Il présente des pièces de théâtre en langue ouzbèke basées sur les œuvres des classiques ouzbèkes.

Boukhara possède également un théâtre de marionnettes et des scènes d'été où des artistes locaux et invités se produisent lors des festivals de la ville.

Loisirs, Parcs et Magasins à Boukhara

Boukhara est une ville touristique, et toutes les attractions majeures sont concentrées autour des sites principaux.

Parcs à Boukhara

Il n'y a pas beaucoup de parcs dans la chaude Boukhara, donc chacun d'eux est généralement bondé. Le plus populaire est le parc culturel et récréatif Mirzo Ulugh Beg. Il y a beaucoup d'arbres, de bancs et d'attractions pour les enfants.

Le parc Samanide attire également les familles avec enfants. Ce parc est petit, mais très accueillant. Il est situé près du marché central.

Il y a deux petits parcs à côté de l'hôtel de ville (Khokimiat) où les retraités et les parents avec des poussettes se promènent.

Il y a un petit parc près du monument de Khoja Nasreddin.

Achats à Boukhara

Pour découvrir les parfums alléchants des fruits frais, des sucreries succulentes et la culture locale, rendez-vous à Buhoro Dehqon Bozori. Les souvenirs nationaux sont vendus dans les boutiques d'artisans sur les marchés, ainsi qu'aux dômes du marché de Boukhara, à la galerie d'art des miniatures de Davron Toshev, sur des stands autour des points d'intérêt importants. Boukhara abrite des artisans présents depuis plusieurs générations qui fabriquent des couteaux, des poignards, des céramiques et des bijoux en argent. Pour acheter des vêtements et passer du temps en famille, rendez-vous au Chinor Mall et Minor.

Gastronomie à Boukhara

Il y a de nombreux endroits où manger à Boukhara. Ils sont situés à la fois dans le centre historique et à la périphérie de la ville.

Cuisine Ouzbèke

Le plat ouzbek le plus populaire, le Plov (pilaf), peut être dégusté dans n'importe quel restaurant ouzbek. Les plus délicieux sont cuisinés dans le restaurant Labi Hovuz. Essayez d'autres plats ouzbeks chez Adras, The Plov, Temir's, Shafran, Ismoil et Old Bukhara, Xo'ja Nasreddin Café et Sham Chaikhana.

Restaurants pour Végétariens

Il n'existe pas de restaurants végétariens spécialisés à Boukhara, mais vous pouvez essayer des repas sans viande dans des cafés et des restaurants servant des plats ouzbeks et asiatiques.

Cafés et Boulangeries

Il y a peu de cafés à Boukhara, et ils sont tous situés dans le centre. Vous trouverez du café de qualité chez Coffee&Shop, Magic Coffee, Bella Italia, Tea&Coffee et Lampa Alladina.

Des produits de boulangerie frais sont disponibles chez Bakery Chief et chez Tea&Coffee.

Les Transports Urbains à Boukhara

Boukhara dispose d'un système de transport public bien développé.

Autobus 

Il y a plus de 30 lignes de bus dans la ville. En fonction de l'itinéraire, l'horaire des bus varie entre 6 h 00 et 21 h 00. Le temps d'attente moyen pour le bus est de 15 à 20 minutes.

Minibus 

De nombreux habitants de Boukhara utilisent les minibus. Ils sont plus nombreux que les bus, mais leur horaire est presque impossible à prévoir.

Service de taxi

On peut réserver une voiture par l'intermédiaire d'une application mobile appelée Yoko Taxi (disponible uniquement à Boukhara) ou d'un centre d'appel. Dans le même temps, de nombreuses personnes préfèrent héler un taxi dans la rue et organiser des trajets avec des chauffeurs de taxi « privés ».

Louer une voiture

La location de voitures à Boukhara n'est pas encore très développée. Il existe quelques sociétés de location de voitures privées dans la ville, où l'on peut louer une voiture de classe standard ou de classe affaires.

Comment se Rendre à Boukhara

Le moyen le plus pratique pour se rendre à Boukhara est l'avion. Boukhara possède un aéroport international desservi par UTair, Azimuth, Rossiya, Pobeda, Red Wings, Turkish Airlines et Uzbekistan Airways. Les vols pour Boukhara sont disponibles depuis Moscou, Saint-Pétersbourg, Istanbul, Ekaterinbourg, Makhatchkala, Zhukovsky et Tachkent.

Vous pouvez également vous rendre à Boukhara depuis de nombreuses villes d'Ouzbékistan en train. Depuis Tachkent et Samarcande, on peut rejoindre Boukhara par le train à grande vitesse Afrosiyob. Veuillez noter que la gare est située à 15 kilomètres de Boukhara, dans la petite ville de Kagan.

Il est également possible de rejoindre Boukhara depuis de nombreuses régions de l'Ouzbékistan en bus et en voiture privée.

Quelles Langues sont Parlées à Boukhara ?

La plupart des habitants de Boukhara parlent l'ouzbek, qui est la langue officielle de l'Ouzbékistan. Le russe, une langue commune pour la communication interethnique, est également parlé par de nombreuses personnes. L'anglais n'est pas aussi largement parlé, mais vous trouverez peut-être des personnes dans les zones touristiques et les hôtels qui parleront anglais avec vous.

Monnaie à Boukhara

La monnaie nationale de l'Ouzbékistan est le soum ouzbek. Tous les paiements à Boukhara se font en soum.

Les cartes internationales Visa et Mastercard sont acceptées dans certains endroits, mais il est préférable d'avoir de l'argent liquide.

La devise étrangère la plus populaire est le dollar américain, suivi de l'euro puis du rouble russe. Vous pouvez changer de l'argent dans n'importe quelle agence bancaire.

Sécurité à Boukhara

Boukhara est une ville assez sûre. Il y a beaucoup de policiers ici. Vous n'avez pas à vous inquiéter et vous pouvez vous déplacer en toute sécurité dans la ville, de jour comme de nuit.

Toutefois, vous ne devez pas laisser vos affaires sans surveillance ni oublier les règles de sécurité élémentaires.

Photos de Boukhara

Citadelle Ark

Mausolée des Samanides - Ismaïl Ier

Nodir Devanbegi Khanaka

Photos de nuit de Boukhara
Photos d'hiver de Boukhara