La Cathédrale du Sauveur Christ, Moscou
La cathédrale la plus célèbre russe – la Cathédrale du Sauveur Christ – est une cathédrale principale de Moscou. Les offices religieux solennels à l’honneur des fêtes orthodoxes principales passent dans cette cathédrale en rassemblant les croyants de tous les coins de la Russie. La monumentalité et la gloire de la cathédrale, sa décoration luxueuse – tout parle du statut particulier du temple et son importance pour l’église orthodoxe russe. Cependant, une histoire assez dramatique précédait à tout ça.
La construction grandiose de la cathédrale en commémoration de la victoire sur l’armée de Napoléon pendant la guerre de 1812 a commencé en 1817 selon l’ordre de l’empereur Alexandre I. Le nouveau temple devait devenir la personnification de l’exploit du peuple russe.
L’auteur du premier projet du temple l’architecte Alexandre Vitberg a posé sur le mont de Vorobyov (le mont de Moinneau). Cependant le mont a commencé à se tasser sous la lourdeur de la construction et Nikolaï I, qui a remplacé Alexabdre I sur le trône russe a stipulé que le temple soit construit au style ancien russe et a désigné le nouvel architecte du temple. Konstantin Ton est devenu l’architecte célèbre de Moscou.
En 1839 sur la nouvelle place, sur la rive du fleuve Moscou où il y avait le Couvent féminin d’Alexeï, qui était transporté à Sokolniki – Ton a posé le nouveau temple. La place a été choisie avec succès : on pouvait voir le temple de tous les points de Moscou est il se trouvait près de Kremlin.
La construction et la décoration intérieure du temple du Sauveur Christ duraient les décennies. Et finalement, le 26 mai 1883 le temple a été consacré solennellement en présence d’Alexndre III et de toute la famille empire.
Le projet du temple représentait une croix avec les extérieurs égaux. Les dimensions du temple était admirable (la hauteur du temple était 103 mètres, la superficie - 6800 mètres carrés) : sa capacité était à peu près de 10 000 personnes.
La décoration riche intérieure du temple du Sauveur Christ consistait la gravure et l’ornement des pierres. Les peintres célèbres russes – Verechaguine, Sourikov, Kramskoy travaillaient sur la décoration du temple. Le temple était entouré par la gallérie qui est devenue le premier musée de la guerre de 1812. Le premier temple du Saveur Christ existait 48 ans suite à quoi on souvenait la légende de malédiction de la nonne, qui était contre la transportation du couvent, à maudit la place de la construction du temple et a prédit qu’aucune construction n’existerait sur cette place plus de 50 ans.
Le désaccord avec l’idéologie de l’athéisme dominant à l’URSS est devenu la raison de destruction du temple.
Selon l’ordre de Staline le temple du Sauveur Christ a été dynamité le 5 décembre 1931. Sur la place du temple on supposait de construire le Palais du Conseil. Cependant les projets étaient changés par la Deuxième guerre mondiale. La fouille faite pour le fondement du Palais était utilisée pour la construction de la piscine ouverte « Moscou ». La piscine a existé 30 ans.
Au mois de février 1990 le Saint Synode de l’Eglise orthodoxe russe s’est adressé au gouvernement avec la demande de permettre de rétablir le temple glorieux. En 2000 le temple rétabli complètement était consacré et les offices religieux ont commencé ici.
Le bâtiment est mis sur le haut stylobate où la basse église, le Saint Synode et l’Académie spirituelle, la salle du Conseil des cathédrales et d’autres sont installés. Aujourd’hui ici il y a l’exposition de musée unique à Moscou. L’exposition comprend des matériels, racontant l’histoire de la création, de la construction, de la destruction et du rétablissement du temple. Le Musée de la Guerre de 1812 se trouve ici aussi.
La décoration intérieure du temple conforme à la gloire extérieure. La hauteur de l’espace intérieure est 79 mètres. Tout le droit de l’axe de l’entrée principale il y a un iconostase unique à la forme de la chapelle octogonale en marbre blanc. Les choses sacrées principales du temple : l’icône de la Nativité amenée par le patriarche Saint Alexeï de Bethléem, six toiles originales restaurés du peintre Verechaguine et le trône du Saint patriarche Tikhone dans l’autel.