L’accueil des jeunes.
Après le mariage religieux, les nouveaux mariés partaient pour la maison du fiancé pour recevoir la bénédiction de ses parents. En chemin à la maison du fiancé le drujka respectait toutes les précautions : disait les prières, enlevait les pierres du chemin, sur lesquelles on peut affecter la sorcellerie. En effet, comme on croit, la personne méchante pouvait facilement abîmer le mariage.
Près de la maison paternelle du fiancé la mère habillée au touloupe dévissé rencontrait des jeunes; répandait le fils avec la belle-fille de l'avoine, du millet - tout cela devait protéger le jeune couple et promettait la richesse. Le père du fiancé avec la mère bénissaient les jeunes et les accompagnaient aux tables de mariage. Et aujourd'hui, de tradition, après l'enregistrement au bureau de l’état civil, les parents rencontrent les jeunes mariés avec hospitalité au seuil de la maison. Après les harangues les jeunes mordent ou prennent des pincées du pain, le trempent au sel et mangent. On croit : qui a mordu le plus - celui-là est le maître. Ce rite symbolise l'accord véritable et franc et c’est le signe de ce que les jeunes seront les miettes d'un pain depuis ce temps-là.
Ensuite tous s'assoient aux tables et commencent à festoyer. Après le dessert, le drujka demandent les parents du fiancé de la bénédiction pour les nouveaux mariés d’aller dans la chambre à coucher et, les ayant laissé aller, festoyaient de nouveau. Le lendemain après le mariage, le fiancé convoquait les hôtes chez soi. Ensuite il venait chez le beau-père et la belle-mère et les remerciait de la fille. Au troisième jour le fiancé, la fiancée et les hôtes arrivaient vers eux au déjeuner.