Le vêtement des Turkmènes
Le vêtement des Turkmènes était toujours la partie de l’éducation. A l’aide de vêtement on orientait la fille de l’enfance à la famille et à la maternité. Les jeunes filles portaient les robes traditionnelles de l’étoffe gris foncé avec la broderie des fleurs de printemps. De cette façon on créait la vue de la terre qui apporte de la bauté, de la santé et de la fertilité.
Deuxième type de la robe on portait les femmes de 30-40 ans. Cette robe était jaune, de la couleur du printemps. C’était le symbôle du soleil au zénith quand toute la terre est chauffée par ses rayons comme et toute la famille de la femme, les parents et les enfants. Cette robe est brodée par ornement « feuilles de chêne ». C’est une incarnation de la force et de la longévité.
La troisième type de la robe portait la femme qui a passé « l’age de Moukhammed », c’est-à-dire plus de 63 ans. Elle est blanche et est bordée comme galbe des plantes de désert. C ‘est un symbole de la « espace de la vie », libré pour une nouvelle génération.
Celle est la symbolique qui est présentée sur les vêtements des femmes Turkmènes. C’est une symbolique végétale. Cela explique comme : femme-mère-terre fertile.
Les vêtements des hommes avaient des ornements des formes des animeaux et des oiseaux. Par exemple les grues définissaient le souhait à l’homme : « Soie libre comme oiseau !». Ici on comprend la libérté comme la liberté de l’esprit. L’homme doit être fort, sûr et indépendant.